Vous êtes à la recherche d'un renseignement culinaire, d'une adresse gourmande, d’une réponse à une question touchant la gastronomie ou à la réglementation administrative (pour le moins très alambiquée et rébarbative) ?
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Passionné de gastronomie dès mon plus jeune âge, j'arpente depuis 1973 en compagnie de Pascale, ma charmante et précieuse épouse, l'hexagone culinaire avec un but très simple : donner du plaisir et des souvenirs à nos papilles.
Du 7 au 11 décembre 1983, j'ai eu la chance que Bernard Robin m'accueille dans ses cuisines. Cette expérience d'une "petite semaine" m'a vite fait comprendre que la charge des journées du métier de cuisinier n'était pas celle d'un fonctionnaire, fusse-t'il de la Direction Générale de la Concurrence et de la Consommation (La DGCCRF est seulement née fin 1985, après sa fusion avec la Direction Générale de la Répression des Fraudes). Depuis cet enrichissant et dur "apprentissage", j'ai compris qu'il me faudrait désormais être moins exigeant, et donc plus tolérant, sur les petits défauts qu'on peut trouver çà et là au restaurant quand on est un gastronomade passionné, et non un critique/censeur.
Début janvier 2002, je me suis trouvé "embarqué", de mon plein gré, par Jacky Dallais et deux de ses "alcoolitres", Philippe Alliet (figure emblématique du vignoble Chinonais) et René Mosse (vigneron réputé du Layon), dans un périple bourguignon d'anthologie. Valette, les frères Joblot, Maréchal, Roulot, Coche-Dury, Comte Laffont, Comte Armand, François Jobard, Vincent Dancer, François Mikulski, Cossard, Duban ... et l'inoubliable Dugat-Py (pas de dégustation chez ce producteur, mais seulement la visite de sa cave personnelle !) seront les étapes vigneronnes inscrites au programme de nos dégustations. Ce périple restera mémorable et gustativement grandiose, comme d'ailleurs la dégustation de plus de 30 Champagnes, acquis auprès d'une dizaine de maisons et de propriétaires de ce vignoble, dans l'immense cave troglodyte du même Jacky Dallais en juillet 1995.
Le 23 avril 2008, une autre opportunité m'a permis de croiser la route de Thibaud Leclerc et de déjeuner en sa compagnie au restaurant "La Grille" à Paris. A l'issue de notre fructueux et gourmand entretien, il m'a proposé de devenir testeur pour le compte du Bottin Gourmand. J'ai pu ainsi contribuer à l'entrée et à la promotion de plusieurs restaurants (Maison Dallais, Maison Bras, Le Vieux-Pont, La Roseraie de Bel-Air, l'Amphitryon ...) mais aussi participer à la rédaction (signée JPP) de quelques commentaires les concernant. Cette aventure au Bottin Gourmand, version Thibaud Leclerc et de son équipe, était celle de femmes et d'hommes chevronnés, animés par une véritable passion gastronomique.
Mais ça, c'était avant ! Avant qu'en 2010, le groupe UniEditions accentue et conforte son emprise sur le Bottin Gourmand en squeezant totalement son ancienne équipe (bien que ses faux-culs de dirigeant(e)s aient prétendu le contraire). Et puisque je n'étais pas d'accord avec leur ligne éditoriale, comme par exemple celle d'aller sans bourse déliée, dans des restaurants pour tester leur nouvelle carte, j'ai mis fin à ma coopération avec les deux nouveaux rédacteurs en chef, David Bachoffer (ex Directeur d’édition du Bottin Gourmand de Thibaud Leclerc qui l'a quitté en 2008 pour d'obscures raisons financières sur lesquelles je ne m'étendrais pas) et Philippe Quintin, une "toute petite" personne dont l'attitude et les "minauderies" m'horripilaient au plus haut point.
Le 1er février 2012, j'ai tiré un grand trait sur un passé de 43 ans à défendre les consommateurs au travers de ce qui fut d'abord la Direction du Commerce Intérieur et des Prix, puis à partir de fin 1985, la DGCCRF, un redoutable service de contrôle mis en avant et défendu par Jean-Pierre Coffe, à qui j'en serais éternellement reconnaissant. Depuis son décès le 29 mars 2016, seul Périco Légasse continue à prendre la défense de cette administration, comme le prouve cette incisive vidéo http://www.youtube.com/watch?v=WPH81oLZ-Fg
Enfin, le 1er janvier 2017, mon épouse Pascale, elle aussi lassée par les incohérences de plus en plus fréquentes dans le fonctionnement des DDPP et/ou des DDCSPP, devenues aujourd'hui des DDETSPP, a tiré sa révérence en prenant également sa retraite.
La vocation gourmande de mon site étant primordiale, pas question pour votre serviteur de vilipender ou d'humilier les cuisiniers, les vignerons, les pâtissiers, bref tous ces "professionnels des métiers de bouche", tous ces "artisans de nos plaisirs papillaires", qui, pour la plupart font leur métier du mieux qu'ils le peuvent. Un métier d'ailleurs que la plupart d'entre eux exerce souvent avec talent, passion et abnégation. Alors, quand il m'arrivera d'être un peu déçu, je donnerais bien entendu mon avis en toute objectivité mais toujours dans l'optique d'une "critique positive", histoire d'apporter ma modeste pierre à notre édifice culinaire et de contribuer à le faire avancer. Par contre, si par malheur je suis extrêmement déçu, je m'abstiendrais de tout commentaire.
Pas question non plus de me servir du vedettariat des personnalités que je rencontre pour me mettre en avant, de poser sans arrêt avec eux ou devant un miroir et donc de singer la suffisante et égocentrique "Chantal Descazeaux" !
Bref, mon objectif est très simple : partager ici le fruit de mes rencontres avec tous ceux qui font honneur à leur profession et méritent donc d'être mis en lumière.
Jean-Pierre POULET